La science a pour but de protéger et non d’anéantir la vie
par Rudolf Hänsel
L’humanité attend à juste titre de la science qu’elle aide à résoudre les problèmes urgents comme la guerre, la pauvreté, la faim, la maladie et l’injustice sociale, mais de plus en plus de scientifiques vendent leur savoir, leur savoir-faire et souvent également leur âme au complexe militaro-industriel et médiatique. Ils s’éloignent même tellement de leur humanité qu’ils aident à perfectionner des moyens d’anéantissement total de l’humanité. La décimation des populations des pays pauvres en est la conséquence, voire l’objectif. On laisse les populations dans l’ignorance en gardant secrets les projets de recherche, on leur ment en leur faisant croire qu’on poursuit des buts humanitaires.
La première partie de cette série d’articles traite le sujet en prenant pour exemple la technologie militaire – fondée sur la nanotechnologie – des armes à l’uranium appauvri et des armes biologiques comme le sida et le SRAS. Nous consacrerons un autre article à des exemples tirés des sciences humaines qui viennent au secours des bellicistes au lieu de s’opposer à eux. Dans un troisième article, nous montrerons qu’il y a eu de tous temps des scientifiques qui se sont engagés en faveur de la protection de la vie et de la paix. Il s’agira de voir comment les forces sociales responsables de l’éducation, de l’école, de la justice, de la recherche, de l’économie et de la politique peuvent unir leurs forces pour rappeler aux scientifiques leurs responsabilités envers les citoyens et la communauté et les amener à respecter des normes éthiques dans leurs travaux scientifiques.
Nanotechnologie: «Les nanostructures, ces nouveaux éléments minuscules, permettront d’accomplir de grandes choses.»
Il y a quelque temps a paru dans un grand quotidien allemand une annonce en pleine page de l’industrie chimique.1 Un prix Nobel de physique né en 1947 y évoque les avantages supposés de la nanotechnologie (NT). Lui-même a contribué il y a un quart de siècle à faire avancer la NT en inventant un microscope à effet tunnel qui permet d’observer des atomes et des molécules. Le préfixe nano- sert à désigner les particules dont une dimension est inférieure à 100 nanomètres (1 nm = 1 milliardième de m) et selon ce scientifique, la nanotechnologie permet de travailler sur des atomes précis.
Ce professeur de physique commence par énumérer des produits industriels créés grâce à la NT, comme des poêles et des peintures pour voitures «extrêmement solides» qui sont également «d’un entretien facile» ainsi que des matériaux «tout à fait nouveaux aux propriétés supérieures à celles des métaux». En outre, des nanosystèmes biologiques ont été étudiés «pour être utilisés en médecine et dans la technique», de même que de «nouvelles techniques de combustion […] qui produisent de l’énergie ne dégageant pas de CO2 dans l’atmosphère». On place également de grands espoirs dans les nanoprocesseurs «dont la production est moins chère que celle des puces actuelles» et qui sont plus intelligents. Selon notre professeur, la NT apportera beaucoup à la médecine. Dans les thérapeutiques du cancer, on introduit des «nanoparticules jusque dans les cellules cancéreuses où elles sont chauffées par agitation magnétique et détruisent des cellules de manière ciblée.» «Grâce à la nanotechnologie notamment, on sera un jour en mesure de s’attaquer à des virus et de lutter ainsi contre des pandémies qui menacent le monde.» Etant donné qu’en NT certaines choses sont encore «en voie de développement, des craintes peuvent apparaître dans la population à leur sujet, par exemple à propos des puces intelligentes.» Aussi doit-on «communiquer ouvertement et créer ainsi une confiance fondamentale dans la science.» «Nous autres chercheurs», affirme-t-il avec force, «nous aventurons en terre inconnue, mais nous réduirons les risques autant qu’il est possible.»
Ceux qui désirent en savoir davantage sur la NT sont invités, au bas de l’annonce, à «chatter» sur Internet avec des spécialistes. Le sujet de discussion est le suivant: «Les nanostructures, ces nouveaux éléments minuscules, permettront d’accomplir de grandes choses.»2
Le profane va se sentir interpellé par les promesses de cette annonce, le cancéreux va peut-être reprendre espoir, notamment parce que les scientifiques célèbrent la NT comme une «nouvelle révolution industrielle»3. Il n’aura pas l’idée de se méfier de ces belles promesses car il part du principe que les scientifiques obéissent à une éthique stricte. De plus, il fait confiance à l’Etat pour contrôler les scientifiques qui en dépendent puisque leurs recherches sont financées par les deniers des contribuables.
Nanotechnologie: effets dévastateurs sur la santé
Si l’on prend la peine de lire les rapports de recherches sur la NT facilement accessibles sur Internet, on arrive à d’autres conclusions. On constate avec effroi que la NT est une technologie extrêmement dangereuse pour l’homme. L’annonce est un exemple de désinformation médiatique de l’industrie chimique qui a mis à contribution un prix Nobel.
Hiltrud Breyer, députée européenne spécialiste de la protection de l’environnement et des consommateurs, du génie génétique et de la bioéthique, a publié dans les Blätter für deutsche und internationale Politik4 un article intitulé «Risiko Nanotechnologie» dans lequel elle nous met en garde: La NT est entrée «insidieusement, de manière quasi inaperçue» dans nos vies et «les consommateurs sont utilisés comme des cobayes sans défense pour les nanoproduits». Ces produits sont parvenus librement sur le marché «bien que la NT recèle des risques considérables». La Commission européenne reconnaît, dans un document intitulé Nanosciences, nanotechnologie, un plan d’action pour l’Europe 2005-2009, que la toxicité et les risques pour la santé dus aux nanoparticules peuvent être plus dangereux que ceux provenant de particules plus grosses mais malgré cela, elle a doublé le budget de la recherche à partir de 2007.
Concernant les effets incalculables de la NT sur la santé, Breyer écrit: «Etant donné que la surface des nanoparticules est plus importante par rapport à leur taille, elles sont beaucoup plus réactives, mais également beaucoup plus dangereuses. […] On fait en sorte que les nanoparticules synthétiques ne se lient pas à des particules plus grosses afin qu’elles soient moins dangereuses.» Les nanoparticules peuvent, «via les poumons et le système digestif, parvenir dans la circulation sanguine et de là dans tous les organes, y compris dans le cerveau, car elles passent la barrière hémato-encéphalique qui empêche normalement la plupart des substances de pénétrer dans le cerveau». Comme leur petite taille fait qu’elles ne sont pas reconnues comme des corps étrangers par le système immunitaire, elles peuvent déclencher des inflammations et des allergies. Dans des expériences sur des souris, les nanoparticules ont causé «d’importants dommages génétiques au coeur et à l’aorte.» Selon Breyer, dès 2004, la compagnie de réassurance Swiss Re mettait en garde contre «des risques incalculables», établissant un parallèle avec l’amiante, «où l’on a mis 100 ans pour en reconnaître les risques».
Selon Breyer, il n’est pas étonnant que les Etats-Unis, ces fauteurs de guerre, consacrent la moitié du budget alloué aux recherches en NT aux applications militaires. Il est question d’optimiser les tenues des soldats, de développer de nouvelles armes et même d’«optimiser» des aptitudes comme l’intelligence, la mémoire ou la force physique.
Nanotechnologie: les armes nucléaires de quatrième génération doivent permettre de tuer de manière parfaite
C’est essentiellement le complexe militaro-industriel qui a recours à la NT et les prétendus avantages mentionnés dans l’annonce ne sont que des sous-produits de la fabrication d’armes de guerre.
Un rapport de 2004 destiné à l’Assemblée parlementaire de l’OTAN et portant sur «les implications des nanotechnologies pour la sécurité»5, présente de manière détaillée les avantages militaires de la NT. Selon le rapporteur, la NT va améliorer considérablement la technologie militaire: «En 2002, le Massachusett Institute of Technology (MIT) a créé l’Institute for Soldier Nanotechnology (ISN) avec une dotation de l’Armée américaine de 50 millions de dollars sur cinq ans». L’objectif de ce centre de recherches est de mettre au point, à l’aide de la NT, une tenue de combat multifonctionnelle qui améliore la protection contre les armes biologiques et chimiques. «Certaines visions plus futuristes entrevoient même la possibilité, grâce aux nanotechnologies, de développer des robots de combat autonomes et d’une utilisation militaire de l’intelligence artificielle.» Le physicien suisse André Gsponer, directeur de l’Independent Scientific Research Institute de Genève, va jusqu’à penser que «la NT peut effectivement, grâce à des substances résistant à la chaleur et aux radiations, contribuer à miniaturiser et à rendre plus sûres les bombes nucléaires.» Il s’agirait là d’une bombe «propre» de faible puissance explosive et à combustible thermonucléaire qui ne contient pas ou très peu de matériel fissile et destinée à pénétrer dans le sol.
Selon une émission de télévision de rainews24,6 «les armes nucléaires de quatrième génération provoquent une contamination radioactive limitée, mais leurs propriétés spécifiques ne sont pas encore divulguées par les militaires». Le physicien nucléaire interrogé est d’avis qu’on a affaire là «à de nouveaux processus nucléaires». On pourrait faire fondre 30 à 40 tonnes de blindés lourds en acier et les corps des soldats tués seraient noirs sans qu’il y ait de traces de brûlures. Selon des rapports provenant de régions en guerre du monde entier, il semble que de telles armes soient utilisées depuis les années 1990. Et on appelle cela des bombes «propres»?
Au point 20, le rapporteur de l’OTAN écrit ceci: «Les possibilités d’innovation des nanotechnologies dans les armes chimiques et biologiques sont particulièrement inquiétantes parce qu’elles permettent d’améliorer sensiblement les vecteurs d’agents ou de substances toxiques. La capacité des nanoparticules de pénétrer l’organisme humain et ses cellules aurait pour effet de faciliter grandement la guerre chimique ou biologique, de la gérer et de cibler directement des groupes ou des individus particuliers.»7 Dans son livre intitulé «Die geplanten Seuchen – Aids, Sars und die militärische Genforschung», Wolfgang Eggert caractérise très bien le phénomène: «Ici, des scientifiques bénéficiant de financements importants font des recherches sur l’anéantissement de l’humanité grâce à l’arme biologique.8
La Russie également ne veut pas être en reste dans le domaine de la NT. A en croire la presse, il est question, dans le cadre d’un gros effort d’investissement, de consacrer 200 milliards de roubles à la recherche nanotechnologique et de créer, grâce à de nouveaux matériaux et à des nanomachines, de nouvelles armes dévastatrices. Au sein d’un Conseil de nanotechnologie récemment mis en place, on trouve, à côté de politiques de premier plan, d’éminents représentants du capital industriel et de la science.9 Il n’est pas étonnant que vu cette nouvelle course aux armements les banquiers présentent le secteur nanotechnologique avec des superlatifs et pronostiquent un chiffre d’affaires de 700 milliards de dollars pour 2008.10 Et comme l’Allemagne est à la pointe en matière de NT,11 le savoir-faire allemand devrait présenter un grand intérêt pour l’industrie d’armement américaine qui marche à plein rendement.
Armes radioactives à l’uranium: génocide ou omnicide à crédit
La NT n’est qu’un exemple parmi d’autres de ce que, comme l’écrivait Einstein, le savant «s’avilit au point de contribuer, en toute obéissance, à perfectionner les moyens qui permettront la destruction totale de l’humanité.»12 Un autre exemple est constitué par le développement des armes radioactives à l’uranium, deuxième arme de destruction massive après le Zyklon B qui a été mise au point en Allemagne. En utilisant dans leurs guerres contraires au droit international des armes à l’uranium contre la population civile de Yougoslavie et d’Irak dans les années 1990, contre l’Irak et l’Afghanistan et, avec Israël, contre le Liban dans les premières années de ce siècle les Anglo-Américains ont commis un génocide et un omnicide à crédit. Horizons et débats a publié de nombreux articles à ce sujet.13 L’uranium appauvri (UA), produit résiduel des centrales nucléaires, est utilisé pour fabriquer des munitions à très fort pouvoir de pénétration destinées à attaquer des blindages ou les murs de béton épais de plusieurs mètres des installations nucléaires souterraines. Au moment de l’impact de la munition sur la cible, à la suite d’un énorme dégagement de chaleur, une poussière de nanoparticules d’uranium se répand dans l’atmosphère et empoisonne et irradie les hommes, les animaux et la végétation. La demi-vie des particules d’UA est de 4,5 milliards d’années.14 Albrecht Schott estime que l’UA est «un exemple d’intervention dans la création qui en menace l’existence» et «une arme dirigée non pas contre les Etats mais contre la planète»15. L’utilisation de cette arme constitue une violation patente de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948 issue des Procès de Nuremberg.16
Sida et SRAS, autres armes de destruction massive mises au point par des scientifiques?
D’après les recherches de Wolfgang Eggert, il semble que le sida et le SRAS soient des armes biologiques «inventées» dans des laboratoires de haute sécurité américains pour exterminer des hommes. Ce qu’il rapporte dans son livre «Die geplanten Seuchen – Aids, Sars und die militärische Genforschung» sur l’apparition du sida est presque incroyable. En 1969, le ministère américain de la Défense aurait demandé un crédit de 10 millions de dollars destiné à des recherches de développement d’un nouveau virus qui détruirait le système immunitaire et contre lequel il n’existerait pas de thérapeutique.17 Selon le directeur adjoint du Département de la recherche du Pentagone, «la possession de ce virus donnerait aux Etats-Unis la supériorité militaire absolue.» Le crédit fut accordé et les scientifiques les plus capables – parmi lesquels Robert Gallo, le «découvreur» du VIH, se mirent au travail. Dix ans après, les premiers cas de sida survinrent aux Etats-Unis.
Ainsi, le sida serait une arme biologique de destruction massive développée par le génie génétique militaire et utilisable pour dépeupler le continent africain, par exemple, afin que les «global players» alliés à l’appareil militaire puissent l’exploiter plus facilement. Eggert écrit: «Il y a un demi-siècle, la fission de l’atome a créé la première menace d’anéantissement mondial. Aujourd’hui, les scientifiques manipulent les gènes et créent de nouvelles maladies qui recèlent un potentiel destructeur tout aussi inquiétant.»18 Selon Henry Kissinger, qui fut il y a 30 ans ministre américain des Affaires étrangères et chef du Conseil national de sécurité et qui rédigea le «National Strategic Security Memorandum 200» (NSSM 200), le dépeuplement devait être «la première priorité de la politique américaine vis-à-vis du tiers-monde» […] parce que l’économie américaine avait besoin «de davantage de matières premières en provenance d’outre-mer, avant tout des pays moins développés».19
Selon les Nations Unies, au cours des 20 prochaines années, le sida fera dans la plupart des pays touchés par la pandémie 68 millions de morts si rien de décisif ne change d’ici là. Les plus vulnérables sont les jeunes gens mal ou pas du tout informés.20 Dans la seule année 2005, plus d’un million de jeunes, dont deux tiers de jeunes filles, ont été contaminés par le VIH21.
Selon le reporter d’une radio africaine, il n’y a plus de place dans les cimetières pour enterrer les nombreux morts du sida.
La seconde arme biologique créée par les scientifiques qu’Eggert décrit dans son ouvrage est le virus du SRAS. A l’en croire, ce virus a été vraisemblablement créé artificiellement en tant que «moyen de guerre de bas niveau». Il a été «mis en circulation» en Asie et a freiné la stupéfiante croissance économique de la Chine.22
La science au service de la guerre
Les préparatifs de guerre par le complexe militaro-industriel et médiatique n’est pas possible sans la participation de nombreux scientifiques qualifiés relevant de beaucoup de domaines différents. Il semble que ledit complexe peut compter sur leur collaboration plus ou moins empressée. Ces liens étroits ne datent pas d’aujourd’hui.
Le 29 août 1915, une année après le début de la Première Guerre mondiale, la «Berliner Illustrierte Zeitung» écrivait, dans un article intitulé «La science et la guerre»: «La guerre brutale semble encourager tout autre chose que la recherche pacifique. Dans cette guerre, le travail scientifique remporte des victoires. […] Les chercheurs et les savants allemands ne cessent d’inventer des armes étonnantes pour nos armées victorieuses.»23
Les recherches sur les gaz de combat et leur fabrication en vue de les utiliser dans la Première Guerre mondiale, celles concernant le Zyklon B utilisé dans la Seconde Guerre mondiale, le programme Manhattan relatif à la mise au point de la bombe d’Hiroshima, le développement de la bombe à hydrogène dans les années 1950, l’utilisation du défoliant «Agent Orange» – substance toxique provoquant des malformations de l’embryon – pendant la guerre du Viêtnam dans les années 1960–70, de même que les recherches sur les armes biologiques commencées dans les années 1920 en Union soviétique, en Grande-Bretagne, au Canada et aux U.S.A. sont des chapitres particulièrement sombres de la recherche scientifique du siècle dernier.24
De quoi les hommes vont-ils encore être capables? Les recherches d’Afrique du Sud concernant une drogue rendant stérile afin de réduire «humainement» la population noire («bombe raciale») ou celles d’Israël concernant une «bombe ethnique» dirigée contre les Arabes sont le produit monstrueux de cerveaux de politiciens et de scientifiques sans conscience morale.25 Et qu’est-ce qui nous attend au XXIe siècle?
En 1998, les scientifiques du Forschungsverbund Naturwissenschaft, Abrüstung und internationale Sicherheit (FONAS) a, dans un «mémorandum de recherches», attiré l’attention sur «une révolution dans le domaine militaire» que se prépare aujourd’hui dans les laboratoires:
«La prise en compte de l’espace, l’électronisation et l’automatisation du champ de bataille, le développement de nouveaux types d’armes et l’augmentation de la précision et du pouvoir de pénétration des armes renforcent à nouveau la dynamique de la course aux armements. […] Aux Etats-Unis, on parle d’une révolution dans le domaine militaire qui se prépare maintenant scientifiquement».26 La bombe nucléaire de quatrième génération conçue grâce à la technologie est un des produits monstrueux de cette révolution dégénérée.
Pour que les citoyens ne bougent pas, on leur ment sur les véritables objectifs de ces recherches: on invoque l’amélioration de la santé publique, la sécurité énergétique, la lutte contre la faim, la lutte contre le terrorisme international, le maintien de la paix dans le monde. Or les rares découvertes applicables au domaine civil ne sont que des sous-produits de la production d’armes de guerre qui prospère dans le monde entier.
Les sciences humaines au service de la guerre
Les sciences de la nature ne sont pas les seules à se mettre au service du complexe militaro-industriel et médiatique. Des représentants des sciences humaines contribuent également, en temps de guerre et dans les années de préparatifs, à la mobilisation psychologique de la population, comme nous allons le montrer dans notre prochain article.
Dans un troisième et dernier article, nous parlerons de scientifiques qui se sont engagés en faveur de la paix et d’une éthique de paix, comme Albert Schweitzer et beaucoup d’autres27, et nous verrons comment la société peut exiger cet engagement.
1 Süddeutsche Zeitung du 18/6/2007. Les citations suivantes proviennent toutes de cette annonce.
2 Cf. www.forum-chemie-macht-zukunft.de
3 Breyer, H. (2006), Risiko Nanotechnologie, in: Blätter für deutsche und internationale Politik 9/2006, p. 1134.
4 ibid. Les citations suivantes proviennent toutes de cet article.
5 www.nato-pa.int
6 rainews24.rai.it/ran24/inchieste/01022007_hiroshima.asp
7 www.nato-pa.int
8 Eggert, W. (2003), p. 84
9 «junge Welt» du 18/7/2007
10 «WAMS» du 16/3/2003
11 ibid.
12 Extrait du Message adressé au 43e Congrès de la Société italienne pour le progrès des sciences
(en 1950)
13 Cf. l’abondant dossier en allemand à consulter sur le site www.zeit-fragen.ch
14 Cf. Schott, A., Fluch und Tragödie des Uranmissbrauchs, Berlin, 2003
15 ibid.
16 ibid.
17 Eggert, W. (2003), Die geplanten Seuchen …
18 ibid.
19 ibid. p. 64
20 www3sat.de/nano/news/34651/index.html
21 Communication 367 de la Commission européenne sur une stratégie européenne sur les droits de l’enfant (2006)
22 Eggert, op. cit.
23 24e année, no 35, pp. 475–476
24 Alibeck, K. / Handelman, S. (2001), Direktorium 15. Russlands Geheimpläne für den biologischen Krieg, München
25 Eggert, op. cit.
26 Mathematisches Seminar der Universität Hamburg, 23 juin 1998
27 Schweitzer, A. Friede oder Atomkrieg, München, 1984