Jane Burgermeister intente une action judiciaire contre l’OMS et les Nations Unies pour bioterrorisme et pour tentative de meurtre

par Barbara Minton, «Natural News» du 25 juin 2009

La date de sortie du nouveau vaccin de la société Baxter contre la pandémie de grippe A(H1N1), prévue pour début juillet ap­proche. Aussi, une journaliste autrichienne est en train d’avertir le monde que le plus grand crime de l’histoire de l’humanité est en cours. Jane Burgermeister vient récemment de déposer une plainte auprès du FBI, accusant l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), l’Organisation des Nations Unies (ONU), plusieurs des plus hauts fonctionnaires du gouvernement et des sociétés pharmaceutiques, de bioterrorisme et de tentatives visant à commettre un meurtre de masse. Elle a également préparé une procédure de justice contre la vaccination forcée, qui se prépare en Amérique.
Ces actes judiciaires suivent des accusa­tions préalablement déposées en avril contre Baxter AG et AVIR Green Hills Biotechnologie (filiale autrichienne du groupe) concernant la production de vaccin contaminés de grippe aviaire, dénonçant un acte délibéré afin de provoquer et de profiter de la pandémie.

Résumé des revendications et des accusations déposées auprès du FBI en Autriche, le 10 juin 2009

Dans son dossier d’inculpation, Burgermeister présente les preuves d’actes de bioterrorisme, en violation de la loi américaine, par un groupe opérant depuis les Etats-Unis, sous la direction de banquiers internationaux qui contrôlent la Réserve Fédérale, ainsi que l’OMS, l’ONU et l’OTAN. Cet acte de bioterrorisme à pour but de réaliser un génocide de masse contre la population américaine, en utilisant un virus génétiquement modifié de grippe avec l’intention de causer la mort. Ce groupe s’est infiltré dans les bureaux d’influents responsables de l’administration aux Etats-Unis.
Précisément, des preuves ont été présentées qui accusent Barack Obama, président des Etats-Unis; David Nabarro, Coordonnateur du Système des Nations Unies pour la lutte contre la grippe; Margaret Chan, Directrice générale de l’OMS; Kathleen Sibelius, Secrétaire du Département de la Santé et des Services aux personnes; Janet Napolitano, Secrétaire du Département de la Sécurité intérieure («Homeland Security»); David de Rothschild, banquier; David Rockefeller, banquier; George Soros, banquier; Werner Faymann, Chancelier d’Autriche et Alois Stoger, ministre autrichien de la Santé, entre autres, de faire partie de ce syndicat international d’entreprises criminelles qui a mis au point, fabriqué, stocké et utilisé des armes biologiques, en vue de décimer la population des Etats-Unis et celle d’autres pays, en vue de gains politiques et financiers.
Les chefs d’accusations soutiennent que les accusés ont comploté entre eux et avec d’autres pour concevoir, financer et participer à la phase finale de la mise en œuvre d’un programme international secret de fabrication d’armes biologiques impliquant les sociétés pharmaceutiques Novartis et Baxter. Ils y sont parvenus via la bio-ingénierie et la diffusion d’agents biologiques mortels, en particulier par le virus de la «grippe ­aviaire» et le «virus de la grippe porcine», afin d’avoir un prétexte pour mettre en œuvre un programme de vaccination forcé, qui serait le moyen d’administrer un agent biologique toxique causant la mort et des dommages à la population des Etats-Unis. Cette action s’inscrit en violation directe avec «The Biological Weapons Anti-terrorism Act» (Loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989).
Les accusations de Burgermeister com­portent des preuves attestant que Baxter AG, filiale autrichienne de Baxter International, a délibérément envoyé 72 kilos de virus vivant de la grippe aviaire, fournis par l’OMS durant l’hiver 2008/09 à 16 laboratoires, dans quatre pays. (cf. encadré: La multinationale pharmaceutique Baxter envoie des échan­tillons de vaccins contaminés) Elle présente des preuves qui démontrent de façon évidente que les sociétés pharmaceutiques et les agences gouvernementales internationales se sont activement impliquées dans la production, le développement, la fabrication et la distribution d’agents biologiques classés parmi les armes biologiques les plus meurtrières de la planète, afin de déclencher une pandémie et de provoquer la mort de masses.
Dans les accusations qu’elle a présentées au mois d’avril, elle a fait remarquer que le laboratoire Baxter en Autriche, supposé être l’un des laboratoires les plus sûrs au monde en biosécurité, n’a pas respecté les plus élémentaires et essentielles des procédures pour garder en sécurité et séparé de toutes les autres substances 72 kilos d’un agent pathogène classé comme arme biologique, mais lui a permis d’être mélangé avec le virus de la grippe humaine ordinaire et d’être expédié à partir de ses installations situées à Orth, dans la région du Danube.
En février, quand un membre du per­sonnel de BioTest, basé en République tchèque, a utilisé le produit destiné à tester les vaccins sur des furets, ces derniers en sont morts. Cet incident n’a pas été suivi de la moindre enquête de l’OMS, de l’Union Européenne, de l’Autriche ou des autorités de santé autri­chiennes. Il n’y a pas eu d’enquête sur la teneur du virus et il n’existe pas de données sur la séquence génétique des virus libérés.
En réponse aux questions parlementaires du 20 mai, le ministre autrichien de la Santé, Alois Stoger, a révélé que cet incident n’avait pas été traité comme il aurait dû l’être en matière de biosécurité, mais comme une infraction au Code vétérinaire. Un médecin vétérinaire a été envoyé au laboratoire pour une brève inspection.
Le dossier de Burgermeister révèle que la diffusion des virus devait être une étape essentielle pour le déclenchement d’une pandémie qui permettrait à l’OMS de déclarer le «Niveau 6» d’alerte de la pandémie. Elle énumère la liste des lois et décrets qui permettraient à l’ONU et à l’OMS de suppléer les Etats-Unis au cas ou la pandémie se déclare. En outre, la législation imposerait de se soumettre à l’obligation vaccinale et elle serait mise en vigueur par la force aux Etats-Unis, dès lors que les conditions de déclaration de la pandémie sont réalisées.
Elle porte également une accusation selon laquelle l’ensemble de la pandémie de «grippe porcine» repose sur d’énormes mensonges et qu’il n’y a aucun virus naturel pouvant constituer une menace pour la population. Elle présente des preuves montrant que les virus de grippe aviaire et porcine ont, en fait, été créés par bio-ingénierie dans les laboratoires, grâce aux financements accordés entre autres, par l’OMS et par d’autres organismes gouvernementaux. Cette «grippe porcine» est un hybride comprenant des parties de grippe porcine, de grippe humaine et de grippe aviaire, un mélange qui ne peut que provenir de laboratoires, selon de nombreux experts.
L’OMS, qui dans ses communications affirme que cette «grippe porcine» progresse et qu’une pandémie doit être déclarée, ne parle pas de ses causes fondamentales. Les virus qui ont été diffusés ont été créés et transmis avec l’aide de l’OMS et, cette dernière à une responsabilité écrasante et de tout premier ordre concernant la pandémie. En outre, les symptômes de la supposée «grippe porcine» ne peuvent être distingués de la grippe ordinaire ou du simple rhume. La «grippe porcine» ne provoque pas plus la mort que d’autres grippes ordinaires.
Burgermeister remarque que le nombre de cas mortels de «grippe porcine» est contradictoire et qu’il n’y a aucune clarté quant à la manière dont le nombre de morts ont été rapportés. Il n’y a pas de risque potentiel de pandémie, à moins que des vaccinations massives ne soient effectuées pour faire de la grippe une arme, sous couvert de protection des populations. Il existe des motifs légitimes de croire que les vaccins obligatoires seront volontairement contaminés pour provoquer à dessein des maladies mortelles.
Il est fait référence à un vaccin agréé par Novartis contre la grippe aviaire qui a tué 21 personnes sans-abri, en Pologne, durant l’été 2008 et qui a eu comme principale conséquence d’être classé dans la catégorie des «Taux d’effets indésirables», répondant ainsi à la définition même d’une arme biologique, selon les Etats-Unis (substance biologique destinée à provoquer un «taux d’effets indésirables», par exemple la mort ou des lésions) par un mode «d’administration» (injection).
Elle affirme que ce même groupe d’in­dustries pharmaceutiques et d’agences gouvernementales internationales qui ont élaborées et diffusées les agents vecteurs de pandémie, se sont positionnées afin de tirer profit de la situation de pandémie créée, avec de gros contrats de commandes de vaccins à la clé. Le groupe qui a élaboré le plan de «grippe porcine» contrôle les médias et, ces derniers diffusent de fausses informations afin d’endormir la vigilance de la population américaine pour qu’elle accepte ce vaccin dangereux.
Le peuple des Etats-Unis subira d’impor­tants et d’irréparables dommages et souffrances s’il est obligé de prendre ce vaccin dont l’efficacité n’est pas prouvée s’il doit le prendre sans son consentement, conformément à l’application de la loi sur l’Etat d’urgence de la santé appelé «Powers Act», du National Emergency Act (loi d’Urgence Nationale), de la Directive présidentielle de la Sécurité Nationale/NSPD-51, de la Directive Homeland Security/HSPD-20 et du partenariat international sur la grippe aviaire et la grippe pandémique.
Aux Etats-Unis, depuis 2008, Burger­meister accuse ceux dont les noms sont cités dans ses accusations d’avoir mis en application de nouvelles procédures et/ou d’avoir accéléré la mise en œuvre de lois et de règlements visant à priver les citoyens des Etats-Unis de leurs droits constitutionnels à refuser cette injection. Ces personnes ont créé ou autorisé des directives qui rendent criminel l’acte de refuser de recevoir une injection contre les virus de la pandémie. Elles ont imposé d’autres sanctions cruelles et excessives, telles que l’emprisonnement et/ou la mise en quarantaine dans les camps d’internement de la FEMA (Federal Emergency Management Agency), tout en empêchant les citoyens des Etats-Unis de demander des indemnités en cas de blessures ou de décès, suite aux injections forcées. Ces mesures constituent une violation des lois fédérales régissant la corruption et l’abus de pouvoir ainsi que la violation de la Constitution et de la Déclaration des droits (Bill of Rights). En prenant ces actions, les accusés dont les noms sont cités ont construit les fondements d’un véritable génocide de masse.
Utilisant la «grippe porcine» comme prétexte, les accusés ont planifié le meurtre de masse des populations des Etats-Unis par le biais de la vaccination forcée.
Burgermeister explique qu’ils ont mis en place un vaste réseau de camps de concentration de la FEMA et identifié des sites allant servir de charniers. En plus, ils sont impliqués dans l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan destiné à faire prendre le contrôle des Etats-Unis par un syndicat international d’entreprises criminelles, qui utilise l’ONU et l’OMS comme façade pour entreprendre des activités de racket illégales et crimi­nelles, en violation des lois qui régissent la haute trahison.
Burgermeister s’attaque aussi aux com­plexes pharmaceutiques Baxter, Novartis et Sanofi Aventis qui font parti d’un programme de fabrication d’armes biologiques basé à l’étranger et à double but, financé par ce syndicat international d’entreprises criminelles et destiné à mettre en œuvre le meurtre massif de civils afin de réduire la population mon­diale de plus de 5 milliards de personnes dans les dix prochaines années.
Leur plan est de répandre la terreur afin de justifier le fait de contraindre les gens à renoncer à leurs droits et à les obliger à être mis en quarantaine massivement dans les camps de la FEMA. Les maisons, les entreprises, les propriétés et les terres des victimes seront confisquées par ce syndicat. En décimant la population d’Amérique du Nord, cette élite internationale accédera aux ressources naturelles des régions, telles que l’eau et les zones pétrolifères non encore exploitées.
Et, en éliminant les Etats-Unis, en supprimant sa constitution démocratique et en soumettant le pays à une Union Nord-Américaine (North American Union), ce groupe de criminels internationaux aura le contrôle total de l’Amérique du Nord.

Faits importants contenus dans le dossier «June 10th Action»

Le dossier complet «June 10th Action» (Action du 10 juin) est un document de 69 pages qui étaye, preuves à l’appui, chacune des accusations.
Il comprend:
•    Un exposé présentant le calendrier des faits et des actes mis en cause; les définitions et les rôles de l’ONU et de l’OMS; l’histoire et les incidents depuis le lancement du foyer de «grippe porcine» du mois d’avril 2009.
•    La preuve que les vaccins contre la «grippe porcine» sont considérés comme des armes biologiques, tels que décrit par les orga­nismes gouvernementaux qui réglementent restrictivement les vaccins, et la crainte des pays étrangers que le vaccin contre la «grippe porcine» soit utilisé aux fins de guerre biologique.
•    Les preuves scientifiques que le virus de la «grippe porcine» est un virus artificiel (génétique).
•    Les preuves scientifiques que la «grippe porcine» à été élaborée par bio-ingénierie, afin de ressembler à la grippe espagnole de 1918. Le dossier présente des citations du texte Swine Flu 2009 is Weaponized 1918 Spanish Flu, de A. True Ott 17, Ph. D., ND, ainsi que le rapport du Dr Jeffrey Taubenberger et.al., dans Science Magazine.
•    La séquence du génome de la «grippe porcine».
•    La preuve de la dissémination délibérée de la «grippe porcine» au Mexique.
•    La preuve de la participation du président Obama qui a ciblé son voyage au Mexico et qui coïncide avec la propagation récente du foyer de «grippe porcine» et avec la mort de plusieurs fonctionnaires participants à son voyage. Affirmation est faite que le Président n’a jamais été testé pour la «grippe porcine», parce qu’il avait été préalablement vacciné.
•    La preuve du rôle de Baxter et de l’OMS dans la production et la libération de matière virale propice à une pandémie en Autriche, ainsi que la déclaration d’un membre du personnel de Baxter indiquant que le virus H5N1, accidentellement libéré en République tchèque, a été reçu par un centre agrée de l’OMS. Le dossier présente les preuves et accusations que Burgermeister a déposées en avril, en Autriche, et qui font actuellement l’objet d’une enquête.
•    La preuve que Baxter fait partie d’un réseau clandestin d’utilisation d’armes biologiques.
•    La preuve que Baxter a délibérément contaminé du produit vaccinal.
•    La preuve que Novartis utilise des vaccins en tant qu’armes biologiques.
•    La preuve du rôle de l’OMS dans le programme d’armes biologiques.
•    La preuve des manipulations par l’OMS des données sur la maladie, afin de justifier la déclaration du «Niveau 6» de pandémie, dans le but de prendre le contrôle des Etats-Unis.
•    La preuve de l’implication de la Food and Drug Administration (FDA) pour masquer le programme d’armes biologiques.
•    La preuve du rôle du Laboratoire national canadien de microbiologie dans le programme d’armes biologiques.
•    La preuve de la participation de scienti­fiques travaillant pour l’organisme britannique NIBSC (National Institute for Biological Standards and Control) et pour la CDC (Center for Disease Control) des USA dans l’ingénierie de la «grippe porcine».
•    La preuve que la grippe espagnole de 1918 à été causée par une vaccination, incluant le rapport du Dr Jerry Tennant, convaincu que l’utilisation généralisée de l’aspirine au cours de l’hiver qui a suivi la fin de la Première Guerre mondiale aurait pu être un facteur contribuant à la prolifération de la pandémie à ces débuts, en supprimant le système immunitaire et en abaissant la température corporelle, ce qui permet au virus de la grippe de se multiplier. Le Tamiflu et le Relenza abaissent également la température corporelle et, par conséquent, peuvent également être considérés comme facilitant la propagation d’une pandémie.
•    La preuve des manipulations du cadre règle­mentaire, afin de permettre des massacres massifs en toute impunité.
•    Des questions constitutionnelles concernant la légalité et l’illégalité de mettre en péril la vie, la santé et les biens publics par des vaccinations de masse.
•    Les questions d’immunité et d’indemni­sations, en tant que preuve de l’intention de commettre un crime.
•    La preuve de l’existence d’un syndicat international d’entreprises criminelles.
Les médias plongent la population américaine dans l’ignorance du danger dont ils sont menacés.
Jane Burgermeister a la double nationalité autrichienne et irlandaise. Elle écrit pour le magazine Nature, le British Medical Journal et American Prospect. Elle est également correspondante européenne du site Internet «Renewable Energy World.com» [Après avoir déposé la plainte, elle a été licenciée. Ndlr.] Elle a notamment écrit sur le changement clima­tique, la biotechnologie et l’écologie.
En plus des plaintes qu’elle a déposées en avril contre Baxter AG et Avir Green Hills Biotechnology, qui sont en train d’être exa­minées, elle a porté plainte contre l’OMS, Baxter et d’autres à propos d’un incident au cours duquel des ampoules contenant du virus A(H1N1) et destinées à un laboratoire de recherches ont explosé dans une voiture bondée d’un train IC en Suisse.
Elle est d’avis que le contrôle des médias par les élites au pouvoir permet au syndicat mondial du crime de continuer à sévir alors que le reste de l’humanité n’a aucune idée de ce qui se passe réellement. Ses plaintes sont une tentative de contourner ce contrôle des médias et de révéler la vérité.
Son plus grand souci est que Baxter, bien qu’il ait été pris en flagrant délit, continue à produire des vaccins pour les pandémies avec les firmes pharmaceutiques associées. Selon elle, il se hâte afin de pouvoir commercialiser ses vaccins en juillet.    •

Source: Natural News du 25/6/09
(Traduction Horizons et débats)

Le virus de la «grippe porcine» n’a jamais été isolé chez les animaux

Déclaration de l’OIE (Office international des épizooties)

Un virus circulant au Mexique et aux Etats-Unis d’Amérique et qui entraîne une transmission d’homme à homme semble causer parfois des affections sévères chez certaines personnes infectées par ce virus. Il n’y a pas de preuve que ce virus se transmette par voie alimentaire.
Il ne s’agit pas d’un virus de la grippe humaine classique, dit de la grippe saisonnière et qui est à l’origine de millions d’infections chez l’homme chaque année. Dans sa composition génétique, ce virus comporte des caractéristiques issues du porc, des oiseaux et de l’humain.
Aucune information concernant la maladie de la grippe chez l’animal au Me­xique et aux Etats-Unis d’Amérique ne peut pour le moment justifier un lien entre les cas humains et des cas éventuels chez les animaux, y compris les porcs. A ce jour, le virus n’a pas été isolé chez les animaux.
Il n’est donc pas approprié d’appeler cette maladie «grippe porcine». Dans le passé, l’appellation de plusieurs épi­démies de grippe humaine d’origine ­animale s’est faite en se référant à un nom géographique, par exemple «grippe espagnole» ou «grippe asiatique»; il serait donc logique d’appeler cette ma­ladie «grippe de l’Amérique du Nord». […]

Source: www.oie.int/fr/press/fr_090427.htm, Communiqué de presse de l’OIE, 27/4/09 

La multinationale pharmaceutique Baxter envoie des échantillons de vaccins contaminés

«La multinationale pharmaceutique Baxter a envoyé, il y a quelques semaines, plusieurs échantillons contaminés par le virus de la grippe à des laboratoires dans le pays et à l’étranger. On a découvert que ces échantillons destinés à des tests scientifiques contenaient le dangereux virus de la grippe aviaire H5N1. L’incident a été tout d’abord constaté au laboratoire tchèque BioTest à Konarovice où l’on a assisté à la mort inopinée de furets auxquels on avait inoculé le vaccin venu d’Autriche. Une enquête a conclu qu’il s’agissait bien de la grippe aviaire. Selon des communiqués des médias tchèques, des tests ont été effectués également en Slovénie, en Allemagne et en Autriche avec un résultat identique.»

Aureliusz M. Petziwol, Wirtschaftsblatt, 4/3/09

Profits et intimidation

Le terme de «grippe porcine» ainsi que celui de «grippe aviaire» représentent des tentatives trompeuses, mais apparemment couronnées de succès, de quelques groupes pharmaceutiques pour promouvoir les débouchés de nouveaux vaccins et de médicaments douteux ­contre la grippe. Jouant le jeu coûteux de l´intimidation, il y a aussi certains politiciens, des instituts spécialisés et des médias à qui cette invention profite. Le débat actuel au sujet du financement des vaccinations et l’appel de certaines assurances maladie en vue d’obtenir davantage de moyens fiscaux à leur disposition, abondent dans le même sens.
L´industrie pharmaceutique démontre qu´elle sait depuis longtemps comment manipuler l’opinion publique en mettant l´accent sur certains sujets. Elle est sur le point de nous démontrer que «la grippe porcine» attire beaucoup plus d´attention qu’une simple grippe saisonnière.
Depuis des semaines déjà, des ­médecins et des directeurs d’instituts scientifiques, incités par des détails génétiques et de biologie moléculaire, et motivés par l’industrie pharmaceutique (quelle que soit la motivation) présentent leur «on-ne-sait-jamais» au peuple étonné et intimidé ainsi qu’aux gouvernements du Bund et des Länder. Il y a donc urgence d’agir. Les instituts y relatifs obtiennent davantage de moyens financiers et d’effectifs, les politiciens sont interrogés et les responsables des cellules de crise partent en voyage d´affaires qui coûtent cher, ce qui étoffe les reportages, les interviews et les commentaires dans les medias.

Source: Blog Wodarg du 4/8/09

Dr Wolfgang Wodarg est spécialiste de médecine interne, de pneumologie, d´hygiène et de médecine environnementale. Membre du SPD, élu de la circonscription électorale de Flensburg-Schleswig, il est membre de la Commission de la Santé du Bundestag et du Conseil de l’Europe.

«… exonérer les groupes pharmaceutiques pour toute responsabilité envers les médicaments qu’ils fabriquent»

«La grippe aviaire serait-elle un mensonge de plus du Pentagone?»

A l’époque de l´hystérie collective à propos de la variole d´il y a trois ans, le gouvernement Bush a réussi à convaincre des députés républicains du Congrès d´intégrer un article de loi dans le projet de loi du département de la «Homeland Security» (ministère de la sécurité intérieure): cet article de loi exonère les groupes pharmaceutiques pour toute responsabilité envers les médicaments qu’ils fabriquent et leur garantit l’immunité totale. Il s’agissait en particulier de groupes pharmaceutiques qui produisent des vaccins contre la variole.

Abolir la protection des droits de l’homme en cas d’expériences ancrée dans le Code de Nuremberg

Profitant de l’actuel climat de peur lié à la grippe aviaire, le gouvernement Bush est en train d’étendre l’immunité des groupes pharmaceutiques. Dans son discours du 1er novembre 2005 au National Institute of Health, le Président a proposé de conférer l’immunité à tous les fabricants de médicaments en cas de poursuites judiciaires. Il a explicitement parlé d’«assurance responsabilité civile pour les fabricants de vaccins vitaux». Une fois démasquées, ces paroles d´apparence anodine et noble annoncent rien de moins que les fabricants de médicaments sont libres de produire et de vendre aux gens n’importe quoi, que ce soit – le Vistide, le Tamiflu ou la Thalidomide – sans avoir à craindre les moindres poursuites judiciaires.

Source: «Ist die Vogelgrippe ein weiterer Schwindel des Pentagons?»
paru dans Zeit-Fragen du 7/11/05

Les cochons
n’en sont pas responsables
«C’est ce qu’on appelle un réassortiment de virus issu de deux souches de virus porcin actuelles» dit le généticien spécialisé en virologie Andrew Rambaut de l´Université d’Edimbourg. «On ne sait pas pourquoi le virus a pu apparaître chez l’homme. Autant que je sache, son existence chez les porcins n’a pas encore pu être prouvée.»
Source: www.wired.com/wiredscience/2009/04/swinfluupdate  

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